mardi 10 novembre 2009

MAMAN CA FAIT MAL AUX TRIPPES

MAMAN PARDONNE-MOI Pour toi je crie la douleur de mon impuissance à t'aider... 
AVEC TON DÉPART MON MONDE VIENT DE S’ÉCROULER ET JE PLEURE!!!
Voilà ce que maman m'aurait dit...
FORGIVE ME MOM  For you I cry the pain of my inability to help you ... AND I CRY!

L'amour filial est parfois dans la pénombre, mais il est toujours fragile comme les roses? Beau sublime, l'Amour maternel c'est la beauté des choses et la douceur des êtres, l''Amour maternel est un parfum incolore et impalpable, mais toujours éternel.
Filial love is sometimes in the dark, but it is still fragile as roses? Beautiful sublime, Maternal Love is the beauty and softness of things, the Motherly Love is a colorless, impalpable perfume, but still eternal. 

AMOUR ET DIGNITÉ Lettre à Maman...
Ou reproches à Papa ?
Christian juin 1994
Merci à toi Maman, que j'ai vu avec mes yeux d'enfant,  te retourner dignement face à toutes les situations aux fins de protéger l’intégrité de ta portée. Merci à toi Maman qui m'a permis de puiser, autant que je pus inconsciemment le faire, dans la caisse à outil de la vie, tu l'as si bien garnie, achalandée comme un trousseau de clés passe-partout. Tu as sut m'apprendre à me servir loyalement des outils que tu y avais mis, grâce à cela j'ai put tout au long de ma vie, monter ou démonter les bons ou mauvais mécanismes de mon vécu, j'ai put grâce à cela également faire de mon mieux pour aider les plus démunis moralement, au moins pour cela Maman, tu n'auras jamais assez de remerciements. Je tenais à te dire par la présente combien grande est ma gratitude. Merci à toi Maman, jusqu’à ce jour " X et un ans" après avoir fait moult retours sur moi, avec le recul et la réflexion, je n'ai put trouver de corrections ni reproches à te faire quant à l'enseignement des valeurs fondamentales qui ont régi ma vie, elles m'ont permis de ne point connaître l'échec, au niveau matériel j'ai toujours sut, fort de ton exemple, approprier mon train de vie à la hauteur de mes moyens quels qu'ils aient été j'ai toujours su les assumer humblement, sans jamais en être frustré. Quand je l'ai désiré j'ai put égaler les plus grands, pour tout cela Maman, jamais ne t’ouvrirais mon cœur assez grand. Tu as su quand ce fut le moment, t'amputer de tes enfants, vraiment Maman il faut que tu aie eu le cœur grand. Je t'ai vu contre tempêtes et marées, la tête haute et droite sans jamais rechigner, piloter le naufrage sur lequel nous étions embarqués, sans jamais nous mouiller tu as su nous emmener de l'autre côté, tout cela Maman est gravé à jamais dans le cœur de ton enfant. Merci à toi Maman qui a su endurer en silence le calvaire de ces années, Maman je tenais à te faire savoir que fort de ton exemple j'ai put tout traverser, debout sans jamais ramper, sans jamais coup bas porter, je ne puis m’empêcher d'être fier de moi, d'être fier de toi. J'ai put renaître de tous les coups bas portés par le vécu sans jamais altérer ma loyauté, ma rage de vaincre et de gagner, il est vrai cependant Maman, qu'au fil du temps,  j'en ressors plus blasé et plus déçu sans en être aigri pour autant. Maman je n'avais rien demandé, vous m'avez donné la vie tu m'as magnifiquement assumé, c'est par respect et par amour qu'aujourd'hui je suis là encore. A vouloir trop donner, l'on finit par tout perdre, toutes choses doit avoir sa juste mesure ! Ou est-elle donc ?
Nîmes le 2 Octobre 1995. 
Rapport de conversation téléphonique, une 1ére à 75 ans, chapeau Maman !
Tu sais Maman j'ai bien compris quand l'autre jour tu m'as dit que tu n'avais put nous donner de l'affection, que par peur de perdre la force qu'il te fallait pour nous assumer tu attendais que nous soyons endormis pour venir nous caresser, j'ai bien compris l'ampleur de ton sacrifice, tu n'avais pas à te justifier. Nous étions quatre enfants, sans confort sans argent sans eau courante, tu nous as si bien assumés que je puis t'autoriser un instant à douter, Papa n’étant jamais là tu as put nous élever avec les seules allocations familiales qu'il te laissait à l’époque  je l'avais pressentit quand tu me disais régulièrement, par fierté, d'aller faire les commissions que je n'avais pas à payer car Papa avait prêté de l'argent, tu sais, à mes yeux aujourd'hui cela te grandit bien plus encore, il est vrai que j'ai bien plus souffert de te voir tomber sous les coups de Papa, souffert d'assister impuissant au drame qui se passait sous mes yeux, tu vois xx et un ans après je n'ai pas oublié ton malheur, notre malheur, celui de Papa qui se poignardait le bras sous mes yeux effrayés, je n'ai pas oublié non plus quand je suis rentré de l’école (CE1), que j'ai du hurler puis sauter sur le dos de Papa qui t'étranglait, la vision des marques de ses ongles sur ton cou m'a poursuivit bien des jours, cette hantise de te retrouver morte gisant le sol m’obsédait et bien que j'eusse voulu profiter du peu de mon père, je languissais dans ces moments qu'il s'en aille, de plus je ne t'ai jamais rien dit, mais l'instituteur déçu par l’enfant "prodige", ne comprenant pas ce qu'il prenait pour de la fainéantise, m'était en permanence dessus me traitant de fainéant et de martyr en me rembarrant pour faire rire toute la classe, je me rappelle ce jour ou en colère il me frappa violemment sur ma chaise entaillant l’arrière de mes genoux, et ce jour ou le doigt coincé et écrasé dans la porte que mon camarade avait refermé, je n'oublierais jamais cette douleur, mes cris pour faire rouvrir cette porte et mon entrée dans la classe ou m'attendait un instituteur sarcastique qui me traita encore de martyr, malgré la douleur de ma première phalange dont j'ai gardé la marque,  ma colère passant au-dessus de la douleur je séchais mes larmes, déjà à sept ans je venais d'apprendre à gérer celle-ci en silence et dignement, à ces moments je pensais très fort à vous pour pouvoir surmonter l'injustice, j'avoue que je n'arrivais plus à travailler. Je me rappelle aussi le pain rassit dans l'eau, mes réactions de gamin qui faisait l’intéressant jusqu'au bout de la règle plate en bois, tu te souviens cette règle plate de couturière que tu nous cassais dessus, te souviens-tu de ta dernière règle, si tu me le permet je vais te raconter comme un bon souvenir, le sort qu'elle a subit ce jour ou, ayant une fois de trop ramené ma fraise, ne pouvant m'attraper tu me la lancée, le bout pointu de sa cassure en me tapant dans la tempe me  fit saigner, de l'autre côté de la table, par instinct provocateur, j'ai froidement essuyé le sang en te disant tu vois ta règle plate ce que j'en fait et c'est la dernière fois, alors calmement je l'ai brisée en morceaux sur mon genou, reprenant tes sens tu voulus venir à moi qui parti sans me retourner, tu vois si je me permets d’écrire tout cela aujourd'hui c'est parce que toi et moi savons ce que c'est, parce que le monde doit savoir que sans toi, sans ta force, sans tout cela aujourd'hui je ne serais plus là pour le raconter. Je n'ai jamais put en vouloir à Papa car grâce à toi je ne sais ce qu'est la haine, je comprends aussi que Papa ayant été orphelin tôt, en errant dans la rue en quête d'un peu de nourriture, ne pouvait avoir cette sensibilité nécessaire à un père ou à un mari, mais malgré tout, du haut de mes trois pommes que n'ai-je admiré cet homme, mon Papa...  Alors aujourd’hui j’en pleure encore, je te serre affectueusement dans mes bras,  ton fils. 
LETTRE HOMMAGE A MON PAPA 2009
Je chante pour toi Papa, s'il te plaît pardonne-moi, pardonne toutes ces choses que je n'ai pas dit, je suis désolé de t'avoir blesser .. .. Je suis désolé papa, je te pardonne car tes yeux voyaient tout. . Je suis désolé Papa, j'ai vu dans tes yeux ton désespoir. ta douleur mais j'étais trop jeune et trop petit  pour comprendre ... Je suis désolé papa, tu m'as... Tu nous a quittés quand tu désirais le plus vivre, tu me l'as écrit quinze jours avant ta mort, si tu savais combien je regrette de ne pas avoir compris tes paroles et commentaires, j'ai tout raté, je dois te demander pardon de n'avoir sut. Papa tu ne peux plus me dire, répondre à ces questions que je me poserais toujours jusqu'à ma mort, alors mon cœur saigne encore parce que ne sais pas pourquoi ... pourquoi?  Lorsque je vais arriver dans le ciel, j'espère que tu m'attendras, nous aurons alors le temps de parler, peut-être pourrais-je avoir les réponses qui refermeront la période de la plaie ouverte dans mon cœur ! Je dit à papa ... Tu vois, je t'aime encore ... En écrivant cette lettre mes yeux continue à pleurer! Repose en paix PAPA jamais on ne t'en à voulu, tu es parti à ce moment ou tu avais le plus envie de vivre, tu me l'as écrit quinze jours avant l'échéance, comment pourrait-on t'en vouloir dis moi ? Dis le moi ! J'avais tant de choses à te demander, qui me les dira à part toi ? Qui.. Qui.. Dis le moi, maintenant tu sais. Adieu  PAPA. PhiloGalop 2014
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 • ♫ ♪•¨•.¸♪ ♫• ♥ Maintenant que tu es loin d´ici, en pensant à tout ça,  • ♫ ♪•¨•.¸♪ ♫• ♥
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 • ♫ ♪•¨•.¸♪ ♫• ♥J´aimerais bien tu sois là  • ♫ ♪•¨•.¸♪ ♫• ♥
  • ♫ ♪•¨•.¸♪ ♫• ♥ Près de moi  • ♫ ♪•¨•.¸♪ ♫• ♥
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MAUDITE EMPATHIE :
PRIÈRE A UNE GRANDE DAME:
 Dame la vie m'autoriserez-vous un jour à flirter avec vous, je vous aime, pourquoi dédaignez-vous toujours mon amour, pourquoi me rendez-vous tant de mépris, que vous ai-je donc fait que vous ai-je donc pris ? Voyez ce que je vous ai donné, et donnez ce que je n'ai eu.. Dame la vie que ne me faîtes vous attendre, ma tâche est terminée, autorisez-moi, de mes propres ailes à m'envoler, je ne pense l'avoir démérité. Dame la vie je vous en prie, devant vous je suis si petit, ne me rabaissez pas encore. Que voulez-vous de moi, ma mort? Si ce n'est que cela je puis faire le suprême effort. Grande dame je vous admire, mais vous en conjure ne me portez plus tort, ou donnez moi ma mort! Pourquoi voulez-vous que je passe de vie a trépas sous vos pesants pas ? Permettez-moi de partir sans jamais plus gémir, amener moi au firmament, pareil à un enfant. Qu'il doit être bon de prendre le petit tortillard qui nous mène autre part. Que cela doit être bon de voyager dans pareille pureté ou tous sommes à égalité, sans rivalités sans méchancetés... Oh! rêve merveilleux tu n'est qu'un rêve, mais ainsi m'apporte la trêve. Ma chère vie, quel dilemme quel conflit intérieur, je suis si fatigué, je dois traîner mon corps, mon esprit me lâche, je vous en prie grande Dame, laissez moi faire ma vie. Quand pourrais-je enfin la laisser, au grand jour éclater, cette fureur de vivre, cette vie intestine qui me ronge comme un cancer, sans personne éclabousser, est-ce possible, MADAME? N'en n'avons nous le droit, cette chère vie, qui ne fus pour moi, qu'un chemin de croix.... Christian 1980 
MON PREMIER LIEU DE TRAVAIL A 17 ANS ET A 895 km DE MA MAISON MATERNELLE

 IL Y A PEU DE TEMPS AUSSI QUE J'AI DÉCOUVERT QUE J'AVAIS LE DROIT DE VIVRE! 
Nîmes le 12 mai 2007
Docteur, bonjour !
Grâce à un travail intense et quasi journalier, ces dernières années j’ai pu acquérir la maturité nécessaire pour pouvoir enfin vous expliquer par écrit ce que verbalement je n’ai jamais réussit à vous exprimer.

De 1995 à 1997 j’ai accumulé une fatigue intense à laquelle s’est ajoutée une forte contrariété, de cette conjoncture a découlé des dysfonctionnements cérébraux qui se sont concrétisés le 12 août 1997 à 21 heures 30 quand je fis un malaise, à moitié conscient, je m’entrepris prudemment de partir aux urgences du CHU, après 1 heure trente d’attente et des soins (lésions au nez), je fus examiné par l’interne de garde qui compris, malgré mon reste de combativité, que j’étais dans un état second, je voulais malgré sa dissuasion repartir, je focalisais sur mon travail et à plusieurs reprises pendant plus d’une heure trente le docteur réussit à me retenir en m’invoquant, à juste titre, ce que je compris plus tard, que je ne pouvais pas repartir dans cet état, trouvant mon malaise anormal il voulait me garder en observation 3 jours, malheureusement pour moi, ma pugnacité déplacée fis que j’obtins gain de cause, vers deux heures du matin je quittais l’hôpital en signant une décharge (dossier du 12.08.97 N° 219760607), par la suite je commençais à avoir de plus en plus de mal à me concentrer ce qui m’amena à devoir quitter mes fonctions fin 1997.

Pensant qu’après un bon repos je pourrais rebondir je me trompais, dans l’inactivité je vis apparaître des dysfonctionnements dans mon acuité cérébrale, malaises, pertes d’équilibre et sensations d’évanouissement pendant mon sommeil, après consultation auprès de vous en juin 1998, vous m’aviez fait faire un électrocardiogramme 24 heures, les examens cliniques ne faisant ressortir aucunes anomalies majeures je me suis retrouvé face à ma réalité psychologique, en mon fort intérieur je compris alors qu’il fallait impérativement mener un combat interne de reconstruction et restais convaincu, peut-être à tort, que ce combat m’incombait et que j’étais probablement le mieux à même de le mener puisqu’il était mien. Ayant enregistré de net progrès en 2001 je retrouvais une activité, la malchance voulu que je fus confronté à un licenciement économique pour cause de fermeture de ce fait je me suis retrouvé rapidement à « la case départ », mes dysfonctionnements cérébraux reprenant le dessus de manière épisodique m’enlevaient toute fiabilité.

Ces dysfonctionnements se traduisaient par des troubles cycliques du sommeil, des difficultés d’endormissement et des « flous plus ou moins longs » après l’éveil, ces faits amoindrissaient mes facultés intellectuelles mon acuité visuelle et auditive, ils m’imposaient la prudence car pouvait survenir une forme d’endormissement des sens et de la vigilance nécessaire à un fonctionnement dit « normal ».

Pour toutes ces raisons il m’à été difficile d’envisager une reprise d’activité c’est pourquoi en 2002 j’ai fait ma demande de dispense de recherche d’emploi tout en ne renonçant pas, cela me permettait de déculpabiliser et de me consacrer à la compréhension de mes troubles pour pouvoir les définir et gérer au mieux cette situation afin d’essayer d’y remédier.

Voilà le résumé succinct de ma situation à cette heure, expliquer ma situation était important du fait que cette démarche est rare, souvent impossible ou génératrice d’une « déconfiture » immédiate ayant pour conséquence « une auto flagellation psychique».

Pour des raisons de déculpabilisation je me suis imposé cette démarche car il me semble qu’elle s’inscrit dans le schéma que je pense nécessaire pour réintégré une certaine normalité de la vie sociale.

En vous remerciant de l’attention que vous aurez porté à la présente, pourriez vous m’éclairer de votre point de vue médical à ce sujet.

Veuillez agréer Docteur, mes respectueuses salutations


C. LE PERF

« Se battre pour soi est un droit  mais aussi un devoir de reconnaissance dédier à nos parents »
MON VILLAGE NATAL VU DE MA FENÊTRE
Des heures et des heures à me taper la tête dans le carreau jusqu'au jour ou... Le carreau céda mdr... Maman m'a rendu un grand service, une fois de plus, j'ai pris la volée qui à remis net de l'ordre dans mes idées Ptdr!


20 ANS DE CONFINEMENT ET JE NE SUIS PAS ENCORE SORTIT D'AFFAIRE !
CONCLUSION :
« Ajouter ta misère à la misère est une logique de misère. »

SAGE MORALITÉ :
« La vie est comme un élastique, plus on tire dessus... Plus elle est mince » Alors... « Ne fait pas le crapaud bœuf, porte ce qui est à ta porté. »

Aujourd’hui j’en ai tiré une bonne leçon... alors ? 
Alors sur Google comme dans la vraie vie.... 
Économie éconoOOOOOrmie.... d’énergie lol ! 

MENU DÉROULANT MISE A JOUR ET MISE EN PLACE D'UN MENU DÉROULANT EN BAS DE PAGE LE 27 janvier 2015


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3 commentaires:

  1. Bonjour ! Pour enregistrer un commentaire, sélectionnez Compte Google en face de la case commentaire. Merci de votre visite.

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  2. Monsieur bonjour, par la présente je venais vous remercier pour l'attention que vous avez porté à mes écrits, je n'ai malheureusement pas encore la technicité pour faire de correctes traductions et je n'ai pu lire que ce que vous avez vous-même traduit, je travaille beaucoup pour mes sites et blogs, je me suis mis à internet que depuis le mois d'août 2009 et pour le moment je me dois de me consacrer à l'essentiel. Merci à vous et à bientôt. Ps: Il m'a été impossible de laisser un commentaire sur votre site (trop compliqué)Milles excuses du fait de la dite complication j'ai effacé accidentellement votre message, plusieurs personnes m'ont fait savoir qu'elles ne laissaient pas de commentaire pour cette raison.

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  3. Réédition du commentaire de Monsieur Kraxpelax, avec toutes mes excuses.
    N'est-que pas que la solitude en soi-mème eveille un peu d'attente fébrile? Voici l'entrée, vide, discrètetement illuminée comme une musée nocturne – la terasse, avec ses flottant torchères dans un étrangement doux soir d'Avent – la vestibule et le murmure vocale s'écartant – la très propre chambre et la musique dansante derrière le mur – et le bar avec les drinks mondains – le bassin où le nageur entrâine, longeur de longeur, il en n'a pas assez, il faut y mettre de sien – et enfin la fille du coin de couloir obscure q'elle tourne vers'l haut noire et pâle, vince, determinée et pure de style comme un moderne avion de chasse suédois

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